Comme la nuit paraît longue à la douleur qui s’éveille.
Horace / Épître à ma sœur sur ma convalescence
Depuis quelque temps déjà, j’avais laissé la douleur se rendormir. Là, en me réveillant à l’aube d’un matin printanier, il me semble n’en garder que le vague souvenir d’un mauvais rêve.
Anonyme
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Mercredi 15 janvier 2025
Une nouvelle année commence, et fidèle à mes habitudes depuis dix ans maintenant, se termine une année de poézies, entre bon sens et contresens. C’est également la fin du triptyque en "sens". Pour les trois années à venir, j’espère aller au fond des choses, tout en évitant l’overdose et les pensées moroses.
Bien à vous,
Paul Jeanzé
Nous voici arrivés au mois de juin et je m’apprête à prendre mes quartiers d’été dans un lieu (…)
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Quand bien même notre corps aurait besoin d’une petite pause pour quelques réparations (…)
