Contact radio

samedi 31 décembre 2016
par  Paul Jeanzé

Quand l’homme imagine son futur, l’optimisme est loin d’être sa nature…

L’Humanité quitta un jour la Terre
Une terre morte et irradiée

À bord de la fusée bondée de survivants
Survint alors un épisode sanglant
Les uns voulaient bifurquer vers Mars
Alors que d’autres préféraient continuer en direction de Pluton
Quant à ceux qui proposèrent de passer par les anneaux de Saturne
Leurs cendres étaient depuis longtemps réduites à néant

Ils partirent cent ou bien deux cent
Mais pas un seul n’arriva au port
Dans l’espace point de sémaphore
Juste un immense trou noir qui engloutit les morts et aussi les vivants
Fin de transmission

Fin de l’Humanité


[ télécharger l'article au format PDF]

Annonces

Message estival

Vendredi 04 juillet 2025

Même si je vous donne peu de mes nouvelles, j’avance toujours tranquillement sur mon petit roman, intitulé Une journée ordinaire. Je dis « petit » dans le sens où il est peu bavard en terme de mots : 25 000 mots environ. Il est « terminé »... enfin, toute la matière est là. Je suis dans la phase où je relis et reprend chaque chapitre plusieurs fois jusqu’à en être (à peu près) satisfait. Peut-être cette phase se terminera-t-elle vers la fin de l’été, peut-être... car je reprends parfois tout du début, quand j’estime « perdre un peu le fil » De plus, le dernier chapitre est à revoir, la fin notamment... Je passe souvent énormément de temps à tenter de trouver une fin « pas trop banale ». Bref, beaucoup de cuisine interne !

Bien à vous et en vous souhaitant un bel été (au frais en ce qui me concerne),
Paul Jeanzé


Brèves

15 janvier - Une année dans tous sens

Mercredi 15 janvier 2025
Une nouvelle année commence, et fidèle à mes habitudes depuis dix ans (…)

16 juin 2024 - Des Poézies qui repartent dans le bon sens

Nous voici arrivés au mois de juin et je m’apprête à prendre mes quartiers d’été dans un lieu (…)

7 mai 2024 - Des "mauvaises nouvelles" qui donnent de la voix

En ce début de semaine, Monsieur Éric Lebret mettait sa voix au service d’une de mes nouvelles, (…)