Berechit

Pour lire en français (mais également en hébreu et avec les commentaires de Rachi) et en ligne la paracha berechit, il existe plusieurs possibilités :

La traduction du Rabbinat sur Sefarim

Berechit sur Tora-box

Le livre Berechit selon la traduction Chouraqui


Les commentaires

Berechit (1988)
Par le Rav Léon Askénazi (Manitou)

Berechit - Création et évolution
Par le Rav Léon Askénazi (Manitou)

Berechit (1992)
Par le Rav Léon Askénazi (Manitou)

Berechit lu par un physicien
Par Henri Bacry (1928 - 2010)


Documents joints

Berechit lu par un physicien

Articles publiés dans cette rubrique

vendredi 13 octobre 2023
par  Paul Jeanzé

Une petite histoire pour commencer

Le Rabbin hassidique Soussia de Hanipol commençait un jour l’étude de l’un des traités du Talmud. Le lendemain, ses disciples, le voyant toujours penché sur la première page, pensèrent qu’il avait trouvé un texte difficile et qu’il avait du mal à le bien pénétrer. Les jours passent, et il est (…)

samedi 2 octobre 2021
par  Paul Jeanzé

Pour une morale de la relation humaine

Faisons l’homme à notre image, proclame solennellement le verset.
Pour justifier ce pluriel, à priori encombrant, Rachi ne s’embarrasse pas d’une gymnastique intellectuelle compliquée. "... La Torah n’a pas voulu manquer de donner une leçon et d’enseigner la vertu de la modestie : le supérieur (…)

lundi 8 octobre 2012
par  Paul Jeanzé

Préhistoire

Au commencement - balbutiements... bref, Rome ne s’est pas fait en un jour. Presque dix années plus tard, j’ai toujours l’impression d’en être au début mais ce qui me rassure, c’est que je ne crois pas faire du surplace !

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Des Poézies qui repartent dans le bon sens

Dimanche 16 juin 2024

Nous voici arrivés au mois de juin et je m’apprête à prendre mes quartiers d’été dans un lieu calme où j’espère ne pas retrouver une forme olympique. Sans doute ne serai-je pas le seul à me retrouver à contresens ; si vous deviez vous sentir dans un état d’esprit similaire, je vous invite à lire les poézies de ce début d’année 2024.

Bien à vous,
Paul Jeanzé