Les vents du voyage
par
Un doux coteau herbeux balayé par le vent
Qui enjambe en riant les petits murs de pierre
La bise entre en soufflant et éteint les lumières
Elle se cogne aux murs blancs puis ressort en sifflant
Vive le vent vive le vent qui s’en va en voyage
À travers les champs et les maisons de passage
Pour le trajet retour
Sera-t-il aussi sage ?